vendredi 30 janvier 2015

Shoah : « La France n'oubliera pas »

Au Mémorial à Paris, puis à Auschwitz, Tn Pas Cher François Hollande a tenté de rassurer les Juifs de France.
Une lente marche silencieuse dans la neige et la nuit. Réunis mardi soir pour commémorer le 70e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz, François Hollande et les dirigeants de 49 pays ont traversé le camp d'extermination nazi jusqu'au monument aux victimes de Birkenau. Ils y ont observé une minute de silence. Puis ils ont allumé une bougie, qu'ils ont déposée sur les rails empruntés par les trains qui conduisaient les déportés vers la mort.
François Hollande, qui se rendait pour la première fois à Auschwitz-Birkenau, a été accueilli par le président polonais, Bronislaw Komorowski. En l'absence de Vladimir Poutine, il a exprimé «respect» et «reconnaissance, aux soldats soviétiques, libérateurs du camp» tout en condamnant «les deux totalitarismes», nazi et soviétique. Trois rescapés du camp, parmi les 300 présents dont beaucoup ne retenaient pas leurs larmes, ont ensuite témoigné, mais aussi mis en garde contre la montée de l'antisémitisme en Europe, Nike Tn avant que ne retentissent les prières juives pour les défunts. «J'ai cru que j'allais être incinérée ici et que jamais je ne vivrai l'expérience de mon premier baiser, a raconté l'écrivaine Halina Birenbaum. Mais, je ne sais comment, moi, jeune fille de 14 ans, j'ai survécu».
«Je vous fais cette promesse»
Dans la matinée, François Hollande avait rendu un vibrant hommage aux victimes de la Shoah, au Mémorial parisien qui leur est dédié. Entre le Mur des noms (qui garde à jamais la mémoire des 76.000 Juifs français déportés) et le Mur des Justes, le président a promis TN Requin aux survivants réunis sous le ciel triste de Paris que la République «n'oublierait jamais». «Je sais ce qui vous tourmente: qui parlera, qui parlera des camps, qui parlera.

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